Journal of the International Law Department of the University of Miskolc |
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Vol. 6. (2009) No. 1. pp. 1-17. |
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Péter Kovács[*1]:
L’histoire de l’enseignement du droit international en Hongrie entre 1945-1989: les différentes phases de la période marxiste
IntroductionJe concentrerai à la présentation de cette approche telle qu’elle s’est manifestée à travers les manuels de droit international utilisés en Hongrie après la deuxiène guerre mondiale jusqu’au changement de régime en 1989. Ma présentation est certainement critique: mais il serait erroné de croire qu’il s’agit d’une critique in personam. En fait, les remarques sont de nature in rem: les auteurs des manuels ont été des personnalités très importants dans le monde scientifique, participant aux différentes conférences diplomatiques, cités et recités non seulement en Hongrie, mais auusi bien à l’étranger y compris le monde occidental. Deux décades se sont écoulés après le changement de régime. Pour ceux qui n’ont jamais vécu sous le totalitarisme, il est certainement surprenant comment des personnes souvent de grande qualité ont été prêtes à écrire de telles phrases qui semblent être de nos jours absurdes, dénouées de fondement, superficielles ou seulement imprégnées de l’idéologie de régime. En revanche ceux qui y vivaient – comme l’auteur de ses lignes qui était à l’époque étudiant et jeune assistant universitaire – se souviennent certainement de la différence entre les conférences universitaires prononcées et le texte des manuels. L’utilisation de la technique du factum concludens et des understatement-s témoignait souvent de la conviction intime des professeurs de cette période. Les contacts interpersonnels entre professeurs et étudiants, professeurs et collègues débutant contribuaient souvent à la découverte de vraies pensées des auteurs. Il faut y ajouter un autre facteur important: les facultés juridiques de Hongrie ont été obligées d’utiliser le même manuel de droit international dont le contenu a été scrupuleusement observé durant la préparation par le ministère des affaires étrangères dont le directeur de droit international assumait le rôle du lecteur scientifique effectuant la fonction du „peer review” ressemblant d’ailleurs plutôt à une censure (censorship) pure et dure…
Le droit international a-t-il eu une doctrine marxiste? La réponse est sans doute affirmativeà cette question, même si – au moins en Hongrie – on a toujours essayer de le reconnaître publiquement. En plus, il n’y a eu aucun ouvrage ayant l’ambition de récapituler en grandes lignes ce que c’est que la doctrine marxiste du droit international. En revanche, les manuels occidentaux[2] ont toujours souligné l’existence des points de répères typiques sans l’énumérer en détail. Ils ont mis au point cependant les rapports entre fondement et structure[3], l’approche dialectique, l’accent exagéré mis sur la souveraineté, l’orgine de nature volontaire des obligations internationales et le refus de l’arbitrage international. A mon avis, il est incontestable que les régimes marxistes avaient de tels positons, de préconcepts ou d’ initiatives typiques qu’on pourraient – au moins avec la certitude ex post facto - qu’on pourraient l’englober sous l’appellation ’doctrine’. [4] Ce constat n’exclut pas que certains accents puissent avoir été considérablement changés aussi bien dans la pratique qu’aux ouvrages de droit international. En même temps, les prémisses ne changeient du tout.
J’essayerai de présenter ces points chauds à travers les manuels utilisés em Hongrie. Il est peut être surprenant pour le lecteur occidental, mais le nombre des ouvrages publiés en droit international a été très bas et chaque manuel a eu plusieurs rééditions sans ou avec adaptions, mise à jour, etc. Le premier ouvrage de ce genre était la traduction du manuel de Feodor Ivanovich Kojevnikov[5] (qui est devenu juge à la Cour International de Justice entre 1953-1961). Sur le manuel ronéotypé, on ne peut pas identifier le traducteur, l’année de la publication, la maison d’édition: il est certain cependant qu’à la fin des années 40 et au début des années 50, c’était l’ouvrage qui a été utilisé à l’Université de Budapest (et vraisemblement aux dex autres facultés juridiqes aussi). L’influence de cet ouvrage est prouvée aussi par le fait que certains de ses examples et de ses déductions se sont réapparus sans altération majeure dans les ouvrages publiés par les auteurs hongrois. Cet ouvrage temporaire a été suivi par un manuel déjà propre aux auteurs hongrois: édité par Gyula Hajdú[6], utilisé avec de légères modifications[7] jusqu’à la fin des années 60. Aux années 70/80, le manuel édité par György Haraszti[8] (précédé par un „mémento” écrit par les mêmes auteurs et grosso modo déjà avec le même contenu) a été utilisé. Vu la nature peu à peu désuète de ce manuel, les internationalistes hongrois de l’époque ont essayé de faire une réadaptation généralisante du manuel. La lenteur de la prépration du manuscrit ainsi que l’attention réduite témoignée aux conseils de l’éditeur ont effectué un échec: le manuel[9] a paru presque en même temps que l’extinction du régime socialiste et il est devenu presque toute de suite inutilisable. Quelque années après, avec la disparition de l’exigence du manuel unique, plusieurs manuels sont parus, reflétant la théorie occidentale du droit international public. Certains de ces manuels ont été des ouvrages autonomes[10], d’autres des traductions et d’adaptation des manuels courant au monde anglophone[11] ou francophone[12]. Aux pages qui suivent, on va essayer de mettre au point les points cruciaux de la doctrine marxiste, tout en soulignat, qu’à l’époque du totalitarisme, les auteurs ont été obligés – nolens, volens – de se tenir aux desiderata du pouvoir. Ce qu’ils ont pu se permettre, c’était la silence sur certaines questions – et il est à souligner que les ouvrages des années 70 et 80 n’ont pas été si proches des exigences de la politique quotidienne du parti socialiste que cela se passait dans beucoup de pays de l’empire soviétique. Tout de même, l’influence d’une doctrine marxiste du droit international était évidente qu’on va voire infra. Pour faciliter l’écriture et la lecture de cet article, on essaie d’éviter la reprise de la langue de bois marxiste, souvent intraduisible donc incompréhensible pour les jeunes et oublié par les plus agés. (Même la simplification de ce langage dont on ne peut pas complètement faire abstraction dans les formules ci-dessous n’est loin facile…)
2. Quel était le devoir imposé à l’approche marxiste de la doctrine de droit international? Les réponses données à cette question ont reflété bel et bien l’époque concerné. Dans le manuel de Kojevnikov qui a été écrit sous le stalinisme, dans l’euphorie de la victoire sur le nazisme mais qui a été influencé aussi par la pensée impériale, le devoir a été défini comme (1) l’exégèse des oeuvres de Marx, d’Engels, de Lénine et de Staline pour les utiliser dans l’élaboration et du développement des principes fondamentaux du droit international; (2) l’analyse de la législation soviétique et de la documentation sovétique du droit international; pour évaluer l’impact de l’Union Soviétique dans la formation du droit international contemporain; (3) l’analyse des expériences de droit international de la deuxième guerre mondiale pour résoudre les problèmes contemporains et pour promouvoir la coopération entre l’ONU et l’Union Soviétique; (4) l’analyse du rôle joué par la Russie et la science russe dans l’évolution des institutions fondamentales du droit international afin de faire valoir tout, ce qui est le meilleur dans le passé de la doctrine juridique russe.[13] Le manuel de 1954 a cru important de rejeter ab ovo les representants „bourgeois” de la doctrine moderne de droit international, et en particulier sur Scelle, Kelsen, Jessup et Eagleton qui selon lui, n’ont développé qu’une simple propagande dépourvue de caractère scientifique (sic!), contrairement aux penseurs marxistes qui ont mis au point le rythme logique de l’évolution et les rapports économiques et sociaux.[14] Après avoir placé Lénine, Staline, Molotov et Vichinsky au Panthéon du droit international, Gyula Hajdú, dont sous la direction le manuel a été publié, est arrivé à condamner le positivisme juridique: Le rôle de la science de droit international au sein de l’Union Soviétique et aux pays de la démocracie populaire n’est pas l’analyse dogmatique de telles ou telles règles, mais il vise par la connaissance et la compréhension scientifiques la promotion de l’évolution des relations mutuelles des peuples et de l’assurance de la coexistence pacifique.[15] Suite au fameux discours de Kroutchev au XXe congrès du PCUS, Staline, Molotov et bien Vichinsky n’étaient plus mentionnés dans les éditions postérieurs du manuel. (Il est à noter d’ailleurs que la monographie de Grigory Tunkin, l’internationaliste le plus connu de l’époque de Brejnev, traduite en hongrois[16] outre la critique habituelle aux penseurs „bourgeois”, fustigeait en premier lieu Vichinshky, en l’accusant avec nihilisme juridique et de l’absolutisation du rôle de la contrainte dans le droit international.[17] Le manuel de 1976 a récapitulé l’approche marxiste comme ayant le but de clarifier le rôle du droit international dans l’assurance de la coextistence pacifique des États aux régimes différentes et de critiquer les approches „bourgeoises” ayant l’ambition d’occulter le caractère interétatique du droit international. Les juristes socialistes présèrvent les règles classiques du droit international, tout en y introduisant des idées de la progression. C’est la défense du concept de la souveraineté qui était au centre de leur activité, et ceci a influencé la positions prises par les juristes soviétiques quant aux sources ou aux sujets du droit international.[18] Le manuel de 1989 a repris cette partie sans alteration considérable.
3. Le territoire des domaines réservés ou l’interprétation de la non-ingérence dans les affaires interieures Il est de notoriété publique que le droit à la définition unilatérale des domaines réservés d’un État, par cet État-même, a été une des vaches saintes de la doctrine marxiste du droit international et une des armes le plus souvent utilisées. Il est surprenant quand même que Kojevnikov n’a pas développé d’explication théorique à cette prétention, il s’est contenté de présenter une citatologie de certaines directives de Staline. Le manuel de 1954 traite le principe de la non-ingérence d’une manière en elle-même logique après le principe de la souveraineté. Après avoir référé aux guerres d’intervention contre la Russie bolchévique et la Commune hongroise[19] de 1919, il consacre un chapître entier aux „ingérences américaines” pour qu’il puisse critiquer l’avis consulatif de la Cour Internationale de Justice.[20] (Le manuel a fait un renvoi à l’affaire Mindszenty, archévèque de Hongrie, imprisonné dans une procédure préfabriquée et à plusieurs d’autres procès d’épuration stalinienne.[21]) A part de ces ajouts incontournables des années données[22], le manuel sans le nommer d’ailleurs, fait un éloge auprès du concept de Georg Jellinek sur l’autolimitation, comme l’unique moyen de restreinde la souveraineté. „La soueraineté étatique ne peut pas être considérée comme absolue (…) car l’État peut s’engager par sa propre décision indépendante,. Puisqu’il est souverain, l’État peut conclure des traités. (…) Souveraineté veut dire une compétence illimitée et indivisible, l’indépendance externe et interne mais elle n’est pas absolue: par autolimitation effectuée avec une décision libre, l’État peut se voir limité dans l’exercice des droits découlant de celle-ci .”[23] Bref, les obligations de nature a priori, ayant leur assise dans la coutûme ou les normes erga omnes n’ont pas été retenues. Le manuel de 1976 n’a pas changé sur l’optique générale, elle a souligné l’importance de la décision de l’État. Elle a rejeté donc l’idée selon laquelle on pourrait d’avance voir si telle ou telle question ne font plus partie du domaine réserve. En plus, en faveur de la protection de la souverenaité, les limites de l’ingérence interdite par le droit international doivent être définies d’une manière large. Le manuel a précisé tout de suite que les questions fondamentales du choix sur le régime politique et social sont telles où le contrôle externe pourrait être égal avec l’anéantisement de la souveraineté. [24] Le chapître pertinent du manuel de 1989 a été écrit sous l’influence des conférences de suivie de la CSCE sur la dimension humaine. C’est pourquoi après avoir construit ses explications grosso modo sur les règles de la résolution 2625 (XXV) de l’Assemblée générale[25], le texte considère comme ingérence „quand un État fait abus des droits qui lui sont garantis, et il fait allusion aux violations prétendues des droits de l’homme dans un autre État ou bien s’il divulgue d’informations fausses ou frauduleuses par rapport un autre État.”[26]
4. L’individu peut-il être sujet du droit international?
La réponse donnée à la question portant sur l’origine de la limitation de la souveraineté n’était pas indépendante du déficite démocratique profond des régimes socialistes. Le lien est encore plus évident en ce qui concerne les pensées relatives au statut de l’homme dans le droit international. Le manuel de Kojevnikov n’a fait que récapituler la position doctrinale dominante avant la deuxième guerre mondiale: „Les personnes physiques ne peuvent pas être les sujets du droit international. Les dispositions des traités contractés par l’État n’obligent pas directement les personnes physiques et morales.mais elles le font à travers des lois internes. (…) Il est vrai qu’on ne peut pas déduire des ci-dessus que les personnes physiques n’auraient aucun droit en droit international.”[27] La même approche conservatrice caractérise le manuel de 1954. Après une introduction très similaire à la sentence précitée, le manuel précise que „de toute façon en cas d’une violation de ces droits, l’individu ne peut pas ester en justice devant les juridictions ou autres institutions internationales. C’est l’État, lésé par la violation des règles juridiques adoptées en faveur des individus qui a le droit d’agir.”[28]
[1] Péter Kovács est juge à la Cour constitutionnelle de la République de Hongrie et professeur de droit international à l’Université de Miskolc et à l’Université Catholique Péter Pázmány. (Les considérations ci-dessous sont développées ès qualité d’universitaire et bien entendu n’engagent en rien la Cour constitutionnelle.) [2] A titre d’exemple cf. Nguyen, Quoc Dinh–Daillier, Patrick–Pellet, Alain: Droit international public (2e éd) LGDJ 1980 Paris, p. 69-70 és (5e éd) LGDJ 1994 Paris, p. 106-107; Touscoz, Jean: Droit international public PUF 1993 Paris, p. 47-48; Seidl-Hohenveldern, Ignaz: Völkerrecht 5. Auflage, Heymans 1984 Köln/Berlin/Bonn/München p. 35-36; Jennings, Robert – Watts, Arthur: Oppenheim’s International Law 9th ed. Longman 1992 Harlow p. 95-96. [3] Le leitmotive de l’approche marxiste dans l’examen de l’histoire de l’humanité était le rapport dialectique entre les forces productrices (qui étaient considérées comme „fondement”) et les relations de production (étant la structure étatique et sociale). [4] Kovács, Péter: The Effect of the Change of Political Regime on the Hungarian Doctrine of International Law (in: Jakab, András – Takács, Péter – Tatham, Allan F (eds): The Transformation of the Hungarian Legal Order 1985-2005, Kluwer 2007 Alphen aan den Rijn) p. 453-463 [5] Le manuel de Kojevnikov, intitulé Kozsevnyikov: Fejezetek a nemzetközi közjog köréből (Chapitres de droit international public) a été publié à Moscou en 1947 par la maison d’édition du ministère de la justice de l’URSS. (infra: le manuel de Kojevnikov) [6] Buza László – Flachbart Ernő – Hajdú Gyula – Vitányi Béla: Nemzetközi jog (szerk. Hajdu Gyula) Tankönyvkiadó 1961 Budapest, Tankönyvkiadó 1954 Budapest (infra: le manuel de 1954) [7] Hajdu Gyula – Buza László: Nemzetközi jog (szerk. Hajdú Gyula) Tankönyvkiadó 1961 Budapest (infra: le manuel de 1961) Flachbart, l’un des auteurs du manuel de 1954 est décédé, un autre, Vitányi a quitté le pays après 1956 et il a poursuivi son carrière aux différentes universités hollandaises. Les deux manuels sont quasiment identiques, sauf une actualisation et une certaine déstalinisation. Qu’on note d’ailleurs qu’il s’agit ici d’un tandem bizarre. Tandis que l’académcien László Búza, était le grand internationaliste du XXe siècle a été responsable pour le fondement scientifique de l’ouvrage, Gyula Hajdú a dû veiller au respect de l’idéologie. Sur l’importance et l’héritage de László Boza, cf. Kovács, Péter: László Buza and His Heritage for Hungarian International Lawyers; Baltic Yearbook of International Law, Volume 7 (2007) (p. 171-176). Búza a publié son propre manuel (A Nemzetközi jog tankönyve / Manuel du droit international) déjà en 1935 qui a servi comme base du manuel des années 50. [8] Haraszti György – Herczegh Géza – Nagy Károly: Nemzetközi jog (szerk. Haraszti György) Tankönyvkiadó 1976 Budapest ((infra: le manuel de 1976) [9] Bokorné Szegő Hanna – Bruhács János – Haraszti György – Herczegh Géza – Lamm Vanda – Nagy Károly – Prandler Árpád – Valki László: Nemzetközi jog (szerk. Herczegh Géza) Tankönyvkiadó 1989 Budapest ((infra: le manuel de 1989) [10] Bokorné Szegő Hanna: Nemzetközi jog, Aula 1997 Budapest; Blahó András, Prandler Árpád:: Nemzetközi szervezetek és intézmények (Orgainasations et institutions internationales), Aula 2005 Budapest; Nagy, Károly: Nemzetközi jog, Püski 1999 Budapest; Bruhács, János: Nemzetközi jog I-II-III, Dialóg Campus 1998/1999/2001 Pécs; Kovács, Péter: Nemzetközi közjog, Osiris 2006 Budapest [11] Shaw, Malcolm: Nemzetközi jog (szerk. Valki László, ford. Dunay Pál, Jeney Petra, Kardos Gábor, Kende Tamás, Nagy Boldizsár, Sonnevend Pál, Zsigmond Barna):, Osiris 2001 Budapest [12] Nguyen, Quoc Dinh – Patrick Daillier – Alain Pellet – Kovács Péter: Nemzetközi közjog Osiris 1997 Budapest [13] Manuel de Kojevnikov, p. 52 [14] Manuel de 1954, p. 86. (idem dans le manuel de 1961, p. 83) [15] Manuel de 1954, p. 86-87, manuel de 1961, p. 84. [16] Tunkin: A nemzetközi jog elméletének kérdései (Questions de la théorie du droit international), Közgazdasági és Jogi Könyvkiadó 1963, Budapest [17] Tunkin: op. cit p. 207 [18] Manuel de 1976, p.75 [19] République des Conseils, attaquée par les armées tchécoslovaque et roumaine [20] CIJ: Interprétation des traités de paix conclus avec la Bulgarie, la Hongrie et la Roumanie, première. phase, avis consultatif du 30 mars 1950,; interprétation des traités de paix conclus avec la Bulgarie, la Hongrie et. la Roumanie, avis consultatif du 18 juillet 1950 (deuxième phase) : [21] Manuel de 1954, p. 112, manuel de 1961, p. 110 [22] Dans le manuel de 1961, une partie des examples écrits dans le manuel de 1954 a déjà disparu ou bien ont été retranscrite dans une forme plus abstraite, sans nommer les affaires. (Manuel de 1961, p. 104-112) [23] Manuel de 1954, p. 94, idem au manuel de 1961, p. 95 [24] Manuel de 1976, p. 86-87 [25] Manuel de 1989, p. 50-51 [26] Manuel de 1989, p. 52 [27] Manuel de Kojevnikov, p. 56 [28] Manuel de 1954, p. 171. Le manuel de 1961 est quasi verbatim identique ici. (Manuel de 1961, p. 175) [29] Manuel de 1976, p. 19 [30] Manuel de 1976, p. 193-194 [31] Manuel de 1989, p. 130 [32] Manuel de Kojevnikov p. 215, manuel de 1954, p. 221-222, manuel de 1961 p. 221. Le manuel de 1976 a dû tenir compte de la référence de la Convention de Vienne sur le droit des relations consulaires (1963) ainsi il a seuelemt sèchement indiqué que les pays socialistes ne profitent pas de cette posibilité. (Manuel de 1976, p. 278) Le manuel de 1989 a économisé les critiques envers cette institution et il a indiqué que la règle nationale prohibant la nomination et l’accuel des consuls honoraires est devenu caduque, donc la possibilité théorique désormais existe. (Manuel de 1989, p. 213) [33] Manuel de Kojevnikov, p. 246-247 [34] Manuel de Kojevnikov, p. 247 [35] Manuel de 1954, p. 358, manuel de 1961 verbatim, p. 358-359 [36] CP.I: Statut de la Carélie orientale, avis consultatif, série B (no. 5) [37] Manuel de 1954, p. 358, manuel de 1961 verbatim, p. 358-359 [38] Manuel de 1976, p. 396-397 [39] Manuel de 1976, p. 397 [40] CIJ: Activités militaires et para-militaires au Nicaragua et contre celui-ci (Nicaragua c. Etats-Unis d’Amérique), Arrêt du 27 juin 1986, Recueil 1986 [41] Manuel de 1989, p. 335 [42] On rappelle que le manuel de Kojevnikov a été écrit encore en 1947. Cf. la manuel de 1954, p. 190, le manuel de 1961 p. 235 [43] CIJ: Réserves à la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. Avis consultatif du 28 mai 1951 [44] Manuel de 1976 p. 214, verbatim dans le manuel de 1989, p. 155 [45] Manuel de 1976, p. 95-96 [46] Manuel de 1976, p. 96 [47] Manuel de 1989, p. 62 [48] Manuel de 1989, p. 63 [49] cf. p.ex. dans l’article 81 de la Convention de Vienne de 1969 sur le droit des traités: „La présente Convention sera ouverte à la signature de tous les Etats Membres de l’Organisation des Nations Unies ou membres d’une institution spécialisée ou de l’Agence internationale de l’énergie atomique, ainsi que de tout Etat partie au Statut de la Cour internationale de Justice et de tout autre Etat invité par l’Assemblée générale des Nations Unies à devenir partie à la Convention.” [50] Manuel de 1976, p. 205-206 [51] Manuel de 1989, p. 145 [52] Manuel de 1976, p. 235, manuel de 1989, p. 177 [53] Manuel de Kojevnikov, p. 152-153 [54] Manuel de 1954, p. 240, verbatim dans le manuel de 1961, p. 240-241 [55] Manuel de 1976, p. 231 [56] Manuel de 1989, p. 170 [57] Le manuel de 1976 a reconnu cependantles mérites de la CIJ où elle a osé arrêté les manipulations des Américains. (Manuel de 1976, p. 296) [58] Manuel de 1954, p. 260. Selon le manuel de 1961, „les puissances impérialistes ont voulu profiter de la clasue sur le règlement de différend pour agir contre la Hongrie, la Roumanie et la Bulgarie ayant opté pour le régime de la démocracie populaire.”( Manuel de 1961, p. 258) [59] Manuel de 1976, p. 394-395 [60] Manuel de 1989, p. 330-331 [61] CIJ: Conditions de l’admission d'un État comme membre des Nations Unies (article 4 de la. Charte), avis consultatif du 28 mai 1948;.Compétence de l’Assemblée Générale pour l’admission d’un Etat aux Nations Unies, avis consultatif, du 3 mars 1950. [62] Manuel de 1954, p. 283-284, verbatim dans le manuel de 1961, p. 282 [63] Manuel de 1954, p. 283-284, verbatim dans le manuel de 1961, p. 282 [64] Manuel de 1954, p. 283-284, verbatim dans le manuel de 1961, p. 282 [65] Manuel de 1954, p. 283-284, verbatim dans le manuel de 1961, p. 282 [66] Manuel de 1976, p. 296 [67] Manuel de 1989, p. 227 [68] Manuel de 1954, p. 372-373, verbatim dans le manuel de 1961, p. 373-374 [69] Manuel de 1954, p. 372-373, verbatim dans le manuel de 1961, p. 373-374 [70] Manuel de 1976, p. 303 [71] Manuel de 1989, p. 245 [72] CIJ: Certaines dépenses des Nations Unies (article 17, paragraphe 2 de la Charte), avis. consultatif du 20 juillet 1962 [73] Manuel de 1976, p. 299 [74] Manuel de 1989, p.246 [75] Manuel de 1989, p.246 [77] Manuel de 1954, p. 303-308, verbatim manuel de 1961, p. 316-322 [78] Manuel de 1954 p. 308-309. Sans altération in merito, le titre a été changré pour „Intégration et État-mondial” où les premières années de la CEE sont brièvement présentées. Manuel de 1961, p. 322-326 o [79] Manuel de 1954, p. 309, verbatim manuel de 1961, p. 324 [80] Manuel de 1976, p. 340 [81] Manuel de 1976, p. 341 [82] Manuel de 1976, p. 346 [83] Manuel de 1976, p. 351 [84] Manuel de 1976, p. 352 [85] Manuel de 1989, p. 265-269 [86] Manuel de 1954, p. 83, 263, 455-456 [87] Manuel de 1961, p. 327-330 [88] Manuel de 1976, p. 326-331 [89] Manuel de 1989, p. 264 [90] Manuel de 1976, p. 335-337 [91] Manuel de 1989, p. 271-274 [92] Manuel de 1961, p. 103 [93] Manuel de 1976, p.96 [94] Manuel de 1961, p. 112 [95] Manuel de 1976, p. 3101, manuel de 1989, p. 232 [96] Manuel de 1961, p. 110 [97] Manuel de 1954, p. 213 [98] Manuel de 1976, p. 183 [99] Manuel de 1989, p. 207 [100] Manuel de Kojevnikov p. 112-112, manuel de 1954 p. 120-122, manuel de 1976, p. 269 [101] Manuel de Kojevnikov p. 45-51, manuel de 1954 p. 439-457, manuel de 1976, p. 76-79 [102] Manuel de Kojevnikov p. 183, manuel de 1976, p. 269 [103] Manuel de 1954 p. 215. Comme les notes supra le pouvent, les manuels de 1961, de 1976 et de 1989 ont également attiré l’attention „aux abus que les légations occidentales se sont permis sous la couverture diplomatique”. [104] Selon son idex, le manuel de 1954 contient au moins 17 citations de Lénine et 12 de Staline, mais selon un aperrçu par les propres yeux, leur nombre est bien supérieur à ces chiffres. (Leur taux respectif semble être similaire chez Kojevnikov). Molotovet Vichinsky viennent chacun avec 10. L’index du manuel de 1961 donne 5 indications pour Lénine, Staline, Vichinsky et Molotov n’y sont plus répertorié. Mais ceci ne vaut pas dire que Staline ou Vichinsky auraient complètement disparu de ce manuel. [105] Manuel de 1989, p. 54 [106] Manuel de 1954 p. 439-457, manuel de 1976, p. 76-79, manuel de 1989, p. 157 [107] Manuel de Kojevnikov p. 148 [108] Notamment l’application des dispositions des règles de 1907 aux navires-hopitaux. [109] Manuel de Kojevnikov p. 326
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